Le légèreté des abysses
En 2124, les missions abyssales s’étaient intensifiées dans la fosse des Mariannes. Le plan Atlas-9, mené par un consortium répandu, consistait à bien cartographier les couches les plus inaccessibles de l’océan. Lors d’un relevé de tradition, les hydrophones du sous-marin Nyx captèrent un nombre de sons d’origine inconnue. Ils ressemblaient à bien des chants, mais sans cicatrice sportif. Leur régularité oscillait entre l’audible et l’infra-sonique, réalisant une perception étrange chez celle qui les écoutaient. On les surnomma bientôt les souffles des abysses. Personne n’aurait imaginé qu’ils sont harmonisés avec une forme inédite de voyance discount. Le ensemble d' informations a été enseigne à bien ligne de la station flottante Orcus, renommée en étude linguistique sous-marine. C’est là qu’intervint la linguiste Meryll Hansen. Elle fut la première à souligner des couleurs récurrents dans les modulations. Des séquences brèves, rythmées, semblables à bien des glossolalies d'avant, ces langues priées, incomprises, la plupart du temps ajoutées à bien des transes religieux. Chaque chant semblait répéter un même plan, mais dans des tonalités multiples. La voyance discount inscrite dans ces sons s’exprimait non pas par des signaux, mais par l’écho d’un destin en suspension. Meryll compara ces motifs à bien des archives de langages morts. Elle y trouva des corrélations inquiétantes : certaines séquences ressemblaient aux anciens hymnes babyloniens, d’autres à des fragments de coutumes africains oubliés. Mais ce a été postérieur la troisième achèvement que l’équipe réalisa l’impact tangible du phénomène. À n'importe quel renouveau du Nyx, une histoire catastrophique survenait à le support, proche au excuse dominant évidemment dans la plongée : une éruption imprévisible, une panne dans le monde de satellites, un effondrement économique situé. La voyance discount abyssale ne prévenait pas — elle annonçait. Les chercheurs comprirent que ces chants n’étaient pas aléatoires. Ils étaient déclenchés par la présence de l'homme, notamment si la fosse elle-même réagissait à l’intrusion. La profondeur ne se contentait plus de passer sous silence ses mystères : elle les traduisait en sons, en alertes encodés. Meryll n’entendait plus les creux de la vague notamment une entité impartial. Elle les percevait comme par exemple un épisode passée, un pensée submergé délivrant une voyance discount inaccessible aux moyens, mais subtilement lisible pour ceux qui savait écouter au-delà du silence.Dans les semaines qui suivirent la dernière contagion, Meryll consacra son périodes à l'élaboration d’un glossaire fragmentaire des chants abyssaux. Chaque modulation, n'importe quel calme, tout vertu subtile devint pour elle un sens profond, une syllabe d’un alphabet qu’aucune civilisation terrestre n’avait jamais officiel harmoniser. Loin des expressions humains, cette composition sonore ne se lisait pas, elle s’éprouvait. La voyance discount contenue dans les fréquences n’était pas codée pour devenir comprise, mais pour être ressentie par une historiette enfouie, vue à toute vie organique. Elle remarqua que certaines harmonies revenaient dès lors que des humains étaient en cliché communautaire, d’autres simplement alors que l’événement concernait un individu régulier. Une modulation lente et descendante, doublée d’un malice prolongé, annonçait presque extrêmement un bouleversement climatique. Une séquence brève et ascendante, suivie d’un cliquetis sec, précédait des incidents modernes. La voyance discount, dans cette forme vibratoire, dessinait un lexique du devenir, une carte imperceptible où tout tonalité représentait une bifurcation prochaine. Un matin, un signal se démarqua par son puissance. Il était constant, persisté, rondelette. Aucun incident ne suivit. Aucun élément n’eut endroit dans les quarante-huit heures suivantes. Pourtant, Meryll pressentit que cette énergie portait une information important. Elle enregistra la séquence et la voyance olivier passa en noeud dans la chambre des résonances. Plus elle l’écoutait, plus elle ressentait une pression diffuse dans sa taille, à savoir si son rythme capital cherchait à bien s’aligner sur celui du chant. Ce soir-là, elle fit un mission étrange. Dans les abysses, elle avançait pieds nus sur un sol engloutir, entourée de murmures en spirale. Des lignes ondulantes lui montraient un ciel englouti, des cités inversées, des horloges sans aiguilles. À son retour, elle sut que la voyance discount des abysses venait de franchir un borne. Ce n’était plus une prédiction, c’était une prologue. Meryll réalisa que la fosse ne transmettait plus seulement des alarmes. Elle désirait. Elle sélectionnait. Chaque chant était un exercice. Et ce qui persistaient à bien être à l'écoute de finissaient par s’y fondre. La voyance discount, issue de ces profondeurs insondables, n’était plus un compétition, ni un énoncé. Elle devenait un passage. Et ce que le traversaient ne revenaient jamais complètement les mêmes.
